Tournant d'époque
Celui qui ouvre son cœur et prie le Saint-Esprit (l'Esprit de la vérité) trouvera dans ces révélations célestes beaucoup de lumière et de vérité, ainsi que consolation, force et joie de vivre. Saint-Esprit ne signifie ni esprit d'homme ni esprit du temps, mais pure parole de Dieu. C'est le langage du ciel pour le monde.
Cependant, pour l'esprit humain, les révélations ne peuvent souvent pas être entièrement comprises dans leur profondeur. De nombreuses révélations, transmises par diverses personnes charismatiques dans le monde entier, parlent d'un tournant d'époque (la mystique Anna Katharina Emmerich, l'aumônier pour les jeunes Don Bosco, Nicolas de Flue, Hildegarde de Bingen et d'autres encore). Ces déclarations constituent une unité.
Les révélations du lieu de grâces St. Michel contiennent également des déclarations par rapport au tournant d'époque. Mais tournant d'époque ne signifie pas fin du monde. Les révélations de Dieu au lieu de grâces St. Michel expliquent le tournant d'époque comme un renouvellement du monde d'aujourd'hui, plein de crises, souvent chaotique. Elles ont pour effet un retour de l'être humain aux valeurs originelles et le détrônement des pensées matérialistes. Elles mettent un terme aux actions destructrices contre la création et encouragent le retour des humains à des valeurs éthiques et morales et à l'unité dans la foi en harmonie avec les lois cosmiques.
Ce renouvellement est entamé au lieu de grâces St. Michel par des révélations significatives et il s'avère être un grand enrichissement de l'existence humaine. Il est pratiqué dans un œcuménisme ouvert et sous la conduite de la lumière. Il est ouvert à tout le monde.
Le Christ reviendra en puissance et en gloire.
Mais nulle prophétie ne saurait nous indiquer la date.
Nous nous en tenons à la parole du Christ:
«Elles verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec grande puissance et gloire.» (Mt. 24, 30).
«Quant à ce jour et à l'heure, nul ne les connaît, pas même les anges des cieux, mais le Père seul.» (Mt. 24, 36)